Sons Dessus Dessous #31 - Répons de Pierre Boulez jouée à la Philharmonie de Paris

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<span data-sheets-value="{"1":2,"2":"Répons, &oelig;uvre cruciale de la musique spatialisée, résonne pour la première fois à la Philharmonie de Paris. Fruit d’une longue gestation, Répons nécessite une disposition spéciale des interprètes. Un ensemble de chambre au centre de la salle, six solistes à la périphérie entourant le public, six groupes de haut-parleurs projetant l’électronique en temps réel. « Répons ne renvoie pas seulement au dialogue entre les solistes et l’ensemble, au dialogue des solistes entre eux, au dialogue de ce qui est transformé et de ce qui ne l’est pas, mais aussi au dialogue de plusieurs matériaux. » (Pierre Boulez) La forme musicale en spirale et l’architecture de la salle de concert s’interpellent mutuellement, comme lors de l’entrée inoubliable des six solistes « électrifiés », ou de leur fin suspendue. Aux antipodes de ce dialogue, Mouvement, chef-d’&oelig;uvre de Helmut Lachenmann, qui mène inexorablement à la paralysie et l’&oelig;uvre pour percussion de Michael Jarrell, appartenant à la série des Assonances, un cahier d’esquisses, toujours ouvert."}" data-sheets-userformat="{"2":899,"3":[null,0],"4":[null,2,14281427],"10":1,"11":4,"12":0}">Répons, &oelig;uvre cruciale de la musique spatialisée, résonne pour la première fois à la Philharmonie de Paris. Fruit d’une longue gestation, Répons nécessite une disposition spéciale des interprètes. Un ensemble de chambre au centre de la salle, six solistes à la périphérie entourant le public, six groupes de haut-parleurs projetant l’électronique en temps réel. <blockquote> <span data-sheets-value="{"1":2,"2":"Répons, &oelig;uvre cruciale de la musique spatialisée, résonne pour la première fois à la Philharmonie de Paris. Fruit d’une longue gestation, Répons nécessite une disposition spéciale des interprètes. Un ensemble de chambre au centre de la salle, six solistes à la périphérie entourant le public, six groupes de haut-parleurs projetant l’électronique en temps réel. « Répons ne renvoie pas seulement au dialogue entre les solistes et l’ensemble, au dialogue des solistes entre eux, au dialogue de ce qui est transformé et de ce qui ne l’est pas, mais aussi au dialogue de plusieurs matériaux. » (Pierre Boulez) La forme musicale en spirale et l’architecture de la salle de concert s’interpellent mutuellement, comme lors de l’entrée inoubliable des six solistes « électrifiés », ou de leur fin suspendue. Aux antipodes de ce dialogue, Mouvement, chef-d’&oelig;uvre de Helmut Lachenmann, qui mène inexorablement à la paralysie et l’&oelig;uvre pour percussion de Michael Jarrell, appartenant à la série des Assonances, un cahier d’esquisses, toujours ouvert."}" data-sheets-userformat="{"2":899,"3":[null,0],"4":[null,2,14281427],"10":1,"11":4,"12":0}">« Répons ne renvoie pas seulement au dialogue entre les solistes et l’ensemble, au dialogue des solistes entre eux, au dialogue de ce qui est transformé et de ce qui ne l’est pas, mais aussi au dialogue de plusieurs matériaux. »  Pierre Boulez </blockquote> Concert enregistré à la Philharmonie de Paris le 11 juin 2015, à l’occasion du festival ManiFeste-2015. <a href="/topic/detail/sons-dessus-dessous/" class="wys-button">Revenir</a>

Répons, œuvre cruciale de la musique spatialisée, résonne pour la première fois à la Philharmonie de Paris. Fruit d’une longue gestation, Répons nécessite une disposition spéciale des interprètes. Un ensemble de chambre au centre de la salle, six solistes à la périphérie entourant le public, six groupes de haut-parleurs projetant l’électronique en temps réel.

« Répons ne renvoie pas seulement au dialogue entre les solistes et l’ensemble, au dialogue des solistes entre eux, au dialogue de ce qui est transformé et de ce qui ne l’est pas, mais aussi au dialogue de plusieurs matériaux. »
Pierre Boulez

Concert enregistré à la Philharmonie de Paris le 11 juin 2015, à l’occasion du festival ManiFeste-2015.

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